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Document public

H 1 L’ADN environnemental pour l’étude de la biodiversité. État de l’art et perspectives pour la gestion.

AGENCE FRANCAISE DE LA BIODIVERSITE

01/01/2019

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BIODIVERSITE ; POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT ; DGAE ; FAUNE ; FLORE ; ESPECE ENVAHISSANTE ; PECHE ELECTRIQUE ; INDICATEUR BIOLOGIQUE

Une révolution pour l’étude de la biodiversité ? Là où la vie passe, elle laisse des traces. L’écologue désireux de localiser les espèces vivantes, de comprendre leur répartition et leurs comportements, est comme un enquêteur relevant des indices, à défaut d’observations directes. Certains sont visibles à l’oeil nu : empreintes dans la neige, griffures sur l’écorce, sauts fugitifs à la surface de l’eau ou dessins sur le fond de la rivière... D’autres, jusqu’alors indécelables, n’ont fait leur apparition sous la loupe de l’enquêteur que tout récemment, à l’ère du génie génétique : ce sont les traces d’ADN, laissées dans le milieu par le vivant, sous des formes dégradées mais néanmoins
identifiables, et que l’on sait désormais exploiter pour remonter à leurs propriétaires.

Sous-type DP : Plaquette d'information

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