Lorsque l'eau menace les installations des réseaux d'énergies, d'eaux, de transports et de télécommunications, les gestionnaires doivent assurer la continuité de leur fonctionnement. Le Centre européen de prévention du risque d'inondation (Cepri) propose des pistes pour anticiper et faire face aux défaillances.

Aujourd'hui le fonctionnement des territoires est conditionné par celui des réseaux qui le structurent (transport, eau, énergie, télécommunication, ?), eux-mêmes fortement dépendants les uns des autres. En période d'inondation, lorsque l'eau menace les installations des réseaux, leurs gestionnaires se doivent de mettre en oeuvre les mesures nécessaires à la continuité de leur fonctionnement, sous peine de priver la population de la satisfaction de ses besoins prioritaires, mais aussi de propager les dysfonctionnements à d'autres réseaux et d'autres territoires.

Le CEPRI s'est saisi de cette problématique afin de faire un point sur la situation actuelle, d'identifier les blocages et de proposer des leviers de réflexion. Que faut-il savoir sur les réseaux techniques d'un territoire ? Quelles solutions existent pour réduire leur vulnérabilité ? Comment gérer le risque résiduel de défaillance en cas d'inondation ? Pour répondre à ces interrogations, le CEPRI a recueilli les expériences d'acteurs publics et privés, opérateurs et usagers afin d'illustrer concrètement son analyse, et propose un guide avec une liste exhaustive de solutions.

Le guide « Le territoire et ses réseaux techniques face au risque d'inondation » propose des pistes techniques, organisationnelles et stratégiques pour illustrer concrètement son analyse. Il est agrémenté de fiches synthétiques pour traiter de chaque type de réseau.

Quel format choisir pour le tableau de bord des SAGE ? Comment le structurer ? Quels indicateurs sélectionner ? Quels outils existe-t-il pour le suivi de la mise en oeuvre du SAGE ? L'Office International de l'Eau a mené une étude sur le sujet pendant l'année 2017, avec le soutien financier de l'Agence française pour la biodiversité, l'appui du Ministère de la Transition écologique et solidaire et en collaboration avec le groupe technique national SAGE (GT SAGE). Cette étude a été réalisée dans le cadre du stage de Mathilde DESPLANCHES, étudiante de master 2 Géographie environnementale (Faculté de géographie ? Université de Strasbourg).

Quel format choisir pour le tableau de bord des SAGE ? Comment le structurer ? Quels indicateurs sélectionner ? Quels outils existe-t-il pour le suivi de la mise en oeuvre du SAGE ? L'Office International de l'Eau a mené une étude sur le sujet pendant l'année 2017, avec le soutien financier de l'Agence française pour la biodiversité, l'appui du Ministère de la Transition écologique et solidaire et en collaboration avec le groupe technique national SAGE (GT SAGE). Cette étude a été réalisée dans le cadre du stage de Mathilde DESPLANCHES, étudiante de master 2 Géographie environnementale (Faculté de géographie ? Université de Strasbourg).

Le SAGE, outil de planification locale institué par la loi sur l'eau de 1992, vise la gestion équilibrée et durable de la ressource en eau. Il concilie différents usages (industrie, agriculture, etc.) et favorise la protection des milieux aquatiques tout en respectant les spécificités de chaque territoire. Pour apprendre à connaître cet outil et sa situation actuelle dans le paysage français, l'Office International de l'Eau (OIEau) propose une infographie...

Le guide méthodologique national pour l'élaboration et la mise en oeuvre des SAGE, créé en 2008 et mis à jour une première fois en 2012 par le groupe technique national SAGE, s'enrichit en 2015 afin de répondre au mieux aux questions des animateurs de SAGE, des membres de commissions locales de l'eau * (CLE * ), aux services de l'Etat et aux agences de l'eau * , en prenant en compte les évolutions réglementaires depuis 2012 sur l'articulation avec l'ensemble des politiques publiques.