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Documents  CHANGEMENT CLIMATIQUE | enregistrements trouvés : 1 272

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Réalisé dans le cadre du groupe de travail inter-agences, ce rapport d’activité présente un bilan à mi-parcours, soit de 2019 à 2021, des
actions des agences de l’eau en matière de solidarité et de coopération internationale déployées lors du 11ème programme (2019-2024).
Engagées pour l’atteinte des Objectis de Développement Durable des Nations Unies, et plus particulièrement l’ODD n°6 visant à garantir
un accès universel à l’eau potable et à l’assainissement, les six agences ont défini en 2020 une stratégie commune en trois axes afin
de poursuivre de manière coordonnée et efficiente leur implication en matière d’aide publique au développement :
> 15 ans après la loi Oudin-Santini dont elles constituent les premières contributrices historiques, les agences de l’eau gardent comme
priorités l’incitation et l’accompagnement des collectivités territoriales pour accroître l’accès à l’eau potable, à l’assainissement et
à l’hygiène auprès des populations particulièrement démunies, majoritairement en Afrique. Par effet-levier des subventions qu’elles
accordent, les agences de l’eau encouragent les collectivités à mobiliser leur compétence en matière d’action extérieure et/ou 1% de
leur budget « Eau » pour soutenir des projets de solidarité internationale et contracter des programmes de coopération décentralisée
avec des collectivités étrangères impliquées dans la mise en oeuvre des services essentiels liés à l’eau,
> La promotion auprès d’autorités de bassin étrangères de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE), internationalement reconnue
comme un modèle durable et exemplaire, a mobilisé l’expertise et le retour d’expériences des agences de l’eau et comités de bassin
au sein de partenariats et projets institutionnels inscrits dans la durée et déclinés à l’échelle de bassins hydrographiques,
> Suivant un mode d’intervention original et éprouvé, l’articulation de ces coopérations institutionnelles avec des projets d’infrastructures
liés à l’eau et l’assainissement est encouragée par les agences de l’eau. Cette orientation a bénéficié du succès du premier appel
à projets inter-agences, libellé « Eau et solidarités internationales », déployé en 2021 pour décliner spécifiquement cet objectif.
La période 2019-2021 a vu se renforcer des tendances de fond dans le contexte général du soutien technique et financier des agences
de l’eau :
> L’impact croissant du changement climatique intensifie les enjeux politiques, socio-économiques, environnementaux et sanitaires
des territoires, et fragilise plus encore de nombreuses régions vulnérables dans lesquelles les agences de l’eau interviennent,
> Les conditions sécuritaires fortement dégradées, notamment au Sahel, rendent plus difficiles – voire impossibles – certains projets,
même portés par des acteurs expérimentés. En témoignent pour exemple les tensions croissantes auxquelles les acteurs français
doivent faire face au Mali.
La pandémie de Covid-19 a par ailleurs complexifié et retardé la réalisation des projets en 2020 et 2021, tout en mettant conjointement
en lumière l’importance vitale de l’accès à une eau propre pour prévenir les pandémies.
Aujourd’hui, la mobilisation du 1% par les agences de l’eau à hauteur moyenne de 15 millions d’euros permet, par effet-levier, une
contribution financière totale (agences de l’eau et collectivités) de plus de 30 millions d’euros/an. Concernant la GIRE, alors que plus
de 80 pays dans le monde déploient une organisation par bassin, les agences de l’eau soutiennent une vingtaine de coopérations institutionnelles
dans des pays étrangers.
Dans ces conditions, les agences de l’eau optimisent, chacune et collectivement, les moyens d’accompagnement disponibles et se
mobilisent en cohérence et en complémentarité avec les acteurs français impliqués directement ou indirectement dans l’aide publique
au développement pour favoriser l’atteinte de l’ODD n°6 (Agence française de développement, collectivités territoriales, ministères,
Partenariat français pour l’eau, Office International de l’eau, programme Solidarité-Eau ou réseaux régionaux multi-acteurs).
Réalisé dans le cadre du groupe de travail inter-agences, ce rapport d’activité présente un bilan à mi-parcours, soit de 2019 à 2021, des
actions des agences de l’eau en matière de solidarité et de coopération internationale déployées lors du 11ème programme (2019-2024).
Engagées pour l’atteinte des Objectis de Développement Durable des Nations Unies, et plus particulièrement l’ODD n°6 visant à garantir
un accès universel à l’eau potable et à ...

POLITIQUE DE L'EAU ; DGAE ; COOPERATION INTERNATIONALE ; CHANGEMENT CLIMATIQUE ; AGENCE DE L'EAU ; AIDE HUMANITAIRE ; document de référence

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Cote : 31579 D RM

Pourquoi assiste t-on à des printemps de plus en plus secs ? Comment se forment ces pluies intenses qui s’abattent avec violence et occasionnent des inondations ? Doit-on s’attendre à voir se renforcer ces phénomènes ? Que peut-on faire pour les anticiper ?

POLITIQUE DE L'EAU ; SECHERESSE ; PLUIE ; PRECIPITATION ANNUELLE ; CHANGEMENT CLIMATIQUE ; RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE ; CLIMATOLOGIE

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Le projet MOSARH21 (Moselle-Sarre-Rhin au 21e siècle) a eu pour objectif d’évaluer les impacts futurs des changements climatiques sur les débits des affluents français du Rhin. Pour cela, les dernières simulations climatiques disponibles produites dans le cadre du 5
e rapport d’évaluation (AR5) du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ont été utilisées.
La démarche s’appuie sur une approche multi-modèles (exploitant deux modèles hydrologiques, GRSD et LARSIM), qui est utilisée conjointement avec un ensemble de projections climatiques désagrégées statistiquement à l’échelle d’intérêt. Les impacts sont quantifiés à l’aide de divers
indicateurs relatifs au régime des cours d’eau, aux crues et aux étiages. Une attention particulière est donnée à la quantification des incertitudes associées à la chaîne de modélisation.
Ce projet a montré que dans le cadre des projections climatiques issues de l’AR5, l’incertitude vient principalement des modèles climatiques et des scénarios radiatifs RCP. L’incertitude liée à
l’échantillonnage semble d’un second ordre, alors que l’incertitude liée aux modèles hydrologiques semble faible.
Les évolutions des débits moyens indiquent une légère augmentation des débits moyens annuels, qui pourrait même devenir importante pour le scénario radiatif RCP 8.5 (amplement du réchauffement climatique). L’aléa de crue s’intensifie dans un futur proche (2021-2050). En
revanche, dans un futur plus lointain (2071-2100), l’évolution des indicateurs de crue est très incertaine, les projections hydrologiques étant divergentes. Les débits d’étiages seraient à la baisse dans le futur proche. Leur évolution dans le futur lointain est également plus incertaine, allant de
la baisse drastique à une augmentation sensible.
Les résultats ont été comparés à ceux obtenus dans le cadre d’études d’impact antérieures réalisées sur le bassin (FLOW MS et Explore 2070). Compte tenu des différences méthodologiques
et des résultats obtenus, on peut conclure que les études précédentes sont cohérentes avec les résultats obtenus dans le projet MOSARH 21.
Ce projet propose également des fiches représentant les évolutions climatiques attendues ainsi que leurs effets sur le régime, les crues et les étiages pour chacune des stations hydrométriques de
la zone d’étude. Le présent rapport a pour objet de présenter de manière synthétique la méthodologie de travail et les résultats de ce projet.
Le projet MOSARH21 (Moselle-Sarre-Rhin au 21e siècle) a eu pour objectif d’évaluer les impacts futurs des changements climatiques sur les débits des affluents français du Rhin. Pour cela, les dernières simulations climatiques disponibles produites dans le cadre du 5
e rapport d’évaluation (AR5) du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ont été utilisées.
La démarche s’appuie ...

CHANGEMENT CLIMATIQUE ; DEBIT ; AFFLUENT ; ETIAGE

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Cour d'école. Bulle nature ! | AERM 12/2020

Document public

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Désimperméabiliser et végétaliser les cours d'école.
C’est agir pour le bien-être des élèves,
proposer des solutions concrètes d’adaptation au changement climatique
et développer un projet pédagogique singulier.

AMENAGEMENT URBAIN ; GESTION DES EAUX PLUVIALES ; SENSIBILISATION DU PUBLIC ; CHANGEMENT CLIMATIQUE ; ECOLE

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Engagée dans une politique « Eau et Nature en Ville et Village » volontariste, l’agence de l’eau Rhin-Meuse a pour objectif de faire de l’eau et de la biodiversité un moteur de l’aménagement durable des territoires. La désimperméabilisation est le premier levier pour permettre la reconquête du bon état des rivières, le retour de
la nature dans les villes et villages et la mise en oeuvre concrète des trames vertes et bleues, en cohérence avec les objectifs du plan d’adaptation au changement climatique adopté en févier 2018. Dans le cadre des 300 projets d’aménagement soutenus sur le bassin Rhin-Meuse ces dernières années, mais aussi des interventions de sensibilisation et d’appui techniques aux porteurs de projets publics et privés du bassin Rhin-Meuse, des services de l’Etat et des usagers, l’agence de l’eau Rhin-Meuse a collecté des interrogations fréquemment rencontrées. Des réponses concrètes, basées sur les retours d’expérience locaux et nationaux de l’agence de l’eau Rhin-Meuse
et ses partenaires, des travaux de recherche et l’expertise d’ADOPTA, association de référence sur le sujet, sont
apportées dans ce document qui se veut opérationnel et évolutif. Ce document a donc pour objectif de diffuser une information concrète, accessible et opérationnelle pour accompagner les collectivités et acteurs de l’aménagement urbain vers une ville durable et perméable.
Engagée dans une politique « Eau et Nature en Ville et Village » volontariste, l’agence de l’eau Rhin-Meuse a pour objectif de faire de l’eau et de la biodiversité un moteur de l’aménagement durable des territoires. La désimperméabilisation est le premier levier pour permettre la reconquête du bon état des rivières, le retour de
la nature dans les villes et villages et la mise en oeuvre concrète des trames vertes et bleues, en cohérence avec les ...

POLITIQUE DE L'EAU ; DGAE ; ASSAINISSEMENT ; EAU PLUVIALE ; CHANGEMENT CLIMATIQUE

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Le changement climatique ayant des répercussions importantes en ce qui concerne l’eau et les milieux
aquatiques, l’Agence de l’Eau Rhin-Meuse (AERM) a engagé une démarche vis-à-vis du changement
climatique. Le Plan d’Adaptation et d’Atténuation au changement climatique du bassin (PAARM) a été adopté
par le Comité de Bassin du 23 février 2018. Il va à présent être décliné dans le 11ème programme de l’Agence
de l’Eau.

CHANGEMENT CLIMATIQUE ; SOCIOECONOMIE DE L'EAU ; ETUDE SOCIOECONOMIQUE ; VULNERABILITE ; PLAN D'ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE ; POLITIQUE DE L'EAU ; ONZIEME PROGRAMME ; POLITIQUE TERRITORIALE ; RESSOURCE EN EAU

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Ce panorama présente un état des lieux des enjeux en termes d’adaptation au changement climatique et de biodiversité dans la région Grand Est, ainsi que les acteurs régionaux contribuant ou susceptibles de contribuer au déploiement de Solutions fondées sur la Nature pour l’adaptation au changement climatique.

Il est le fruit du travail de l'animatrice régionale ARTISAN en Grand Est, et de l'implication de tous les membres du groupe de travail sur les Solutions d'adaptation fondées sur la Nature en Grand Est : l'Office Français de la Biodiversité, le Conseil régional Grand Est, la DREAL, la DRAAF, l'Agence de l'eau Rhin-Meuse, l'Agence de l'eau Seine-Normandie, l'ADEME, le Cerema, la Banque des territoires et l'INRAE.
Ce panorama présente un état des lieux des enjeux en termes d’adaptation au changement climatique et de biodiversité dans la région Grand Est, ainsi que les acteurs régionaux contribuant ou susceptibles de contribuer au déploiement de Solutions fondées sur la Nature pour l’adaptation au changement climatique.

Il est le fruit du travail de l'animatrice régionale ARTISAN en Grand Est, et de l'implication de tous les membres du groupe de travail ...

CHANGEMENT CLIMATIQUE ; BIODIVERSITE

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