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Documents  CAPTAGE | enregistrements trouvés : 690

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- 44 + annexes
Cote : 31594-02 RM

Les collectivités du secteur d'étendent sur un territoire de 1020 km2 et assurent la distribution d'eau à environ 106 500 habitants, auxquels il faut ajouter environ 4000 habitants dans le département du Bas Rhin adhérentes au SIE de Sarralbe.

SCHEMA D'ALIMENTATION EN EAU ; TELESURVEILLANCE ; QUALITE DE L'EAU ; RESSOURCE EN EAU ; COLLECTIVITE TERRITORIALE ; EAU POTABLE ; ALIMENTATION EN EAU ; CAPTAGE

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13y


Cote : 32185 RM

Comprend :
- Le forage d’Ammertzwiller (68)
- Le Captage de Bois-le-Jura à Apremont-la-Forêt (55)
- Les sources de Moulins à Bouxières-aux-Chênes (54)
- Les captages de la région de Bouxwiller (67)
- Le Puits de la Chèvre à Chamagne (88)
- La source du Frêne à Germiny (54)
- Le forage de la commanderie à Haraucourt-sur-Seille (57)
- Le forage de Knoeringue (68)
- La source du Chut du Moulin à Marville (55)
- Le bassin versant du Rupt-de-Mad (54/55)
- Le Forage de Tagolsheim (68)
- Les captages de Sommauthe Vaux-en-Dieulet et Beaumont en Argonne (08)
- Les captages du plateau de Vicherey-Beuvezin (88 et 54)
Comprend :
- Le forage d’Ammertzwiller (68)
- Le Captage de Bois-le-Jura à Apremont-la-Forêt (55)
- Les sources de Moulins à Bouxières-aux-Chênes (54)
- Les captages de la région de Bouxwiller (67)
- Le Puits de la Chèvre à Chamagne (88)
- La source du Frêne à Germiny (54)
- Le forage de la commanderie à Haraucourt-sur-Seille (57)
- Le forage de Knoeringue (68)
- La source du Chut du Moulin à Marville (55)
- Le bassin versant du Rupt-de-Mad ...

EAU POTABLE ; CAPTAGE ; SDAGE ; PESTICIDE ; PRODUIT PHYTOSANITAIRE ; AGRICULTURE ; ALIMENTATION EN EAU ; CAPTAGE PRIORITAIRE ; AIRE D'ALIMENTATION DE CAPTAGE ; RETOUR D'EXPERIENCE

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- 306

Le Syndicat des Eaux et de l’Assainissement Alsace Moselle (SDEA) a passé un marché pour une étude de faisabilité du développement de l’agriculture biologique pour la protection de la ressource en eau de captages dégradés des territoires du Piémont BasRhinois et de Mommenheim concernant une surface de 5 313 ha.
Ces captages présentent des problèmes de qualité d’eau en nitrates et/ou pesticides.
Or, l’agriculture biologique est considérée aujourd’hui comme un levier efficace et pérenne pour protéger la ressource en eau, comme en témoigne la dernière synthèse réalisée par l’Institut Technique de l’Agriculture Biologique (ITAB) sur ses externalités positives.
Avec plus de trente années de métier dans le développement de l’agriculture
biologique en Alsace, l’Organisation Professionnelle de l’Agriculture Biologique en Alsace (OPABA) a été sélectionnée pour la réalisation de cette étude qui repose sur trois phases
principales :
- la première a pour objectif de caractériser les cultures et/ou systèmes d’élevages qui
peuvent potentiellement se développer sur ces deux zones et de réaliser des fiches
technico-économiques;
- la seconde a pour objectif d’effectuer un état des lieux des filières biologiques qui
peuvent valoriser les productions de ces territoires (grandes cultures, bovins
allaitants, volailles de chair, autres viandes, œufs, bovins laits, caprins laits, fruits et
légumes, cultures innovantes), en enquêtant un corpus d’opérateurs (coopératives,
minotiers, fabricants d’aliments du bétail, bouchers, épiceries, GMS, etc). Deux focus
particuliers ont été réalisés sur la structuration de la filière en grandes cultures
biologiques et sur le débouché de la restauration hors domicile.
- la troisième consiste en la synthèse finale et la détermination des pistes d’actions
pour œuvrer au développement de l’AB.
Enfin, 3 benchmarks ont été réalisés sur des initiatives intéressantes qui ont été
menées pour développer l’AB et qui pourraient inspirer des projets sur le territoire alsacien :
« Eau en Saveurs », le territoire du Burgenland, le financement de la station de Maisse. Pour chacune, les facteurs de réussite et de transposabilité ont été déterminés.
Afin de réaliser une partie de ce travail, le cabinet d’étude franco-allemand
ECOZEPT, spécialisé sur les marchés biologiques, a été mandaté.
La sollicitation d’experts et de référents professionnels nous a permis de consolider
les résultats obtenus.
28 fiches technico-économiques et 7 fiches filières ont été créées.
165 opérateurs ont été enquêtés.
Des pistes d’actions pour l’ensemble des filières de production ont été définies.
Oui, l’agriculture biologique se développe. Oui, des opérateurs sont à la recherche de
matières premières bio et locales. Selon les productions et la structuration des filières, elles peuvent potentiellement se développer sur les zones d’étude. Pour les cultures innovantes
(chanvre, betterave à sucre, tabac, etc) et la filière caprin lait, tout reste à construire.
Dans un contexte européen et national de changement d’échelle de la bio, il est plus
que jamais indispensable d’accompagner les porteurs de projets, les producteurs bio et la mise en place de filières équitables Nord-Nord pour le développement d’une agriculture
biologique locale et solidaire. Pour que l’eau soit protégée. Pour que l’agriculture bio alsacienne et française se développe durablement.
Le Syndicat des Eaux et de l’Assainissement Alsace Moselle (SDEA) a passé un marché pour une étude de faisabilité du développement de l’agriculture biologique pour la protection de la ressource en eau de captages dégradés des territoires du Piémont BasRhinois et de Mommenheim concernant une surface de 5 313 ha.
Ces captages présentent des problèmes de qualité d’eau en nitrates et/ou pesticides.
Or, l’agriculture ...

CAPTAGE ; AGRICULTURE BIOLOGIQUE ; PERIMETRE DE PROTECTION ; PROTECTION DE CAPTAGE ; NITRATE ; AGRICULTURE ; PRODUIT PHYTOSANITAIRE ; PESTICIDE ; EAU POTABLE

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- 250

Les céréales représentent plus de 60% de la surface agricole utile (SAU) de la région Alsacienne. Le maïs est la culture prédominante avec 44% de la SAU, suivi par le blé tendre avec 14%. Le maïs est une culture historiquement prédominante dans la région et notamment dans la plaine, du fait de
conditions pédoclimatiques et d’une disponibilité en eau permettant de très bons rendements, généralement supérieurs aux moyennes nationales.
Cette forte spécialisation, accompagnée de rotations courtes, peut augmenter les pressions de maladies, adventices et ravageurs, et concourir à la diminution des taux de matière organique des sols. Pour compenser ces effets, les exploitants sont ainsi être amenés à utiliser des produits
phytosanitaires et des apports récurrents d’azote, qui altèrent la qualité des captages d’eau. De plus, dans le cas particulier du maïs grain, la récolte plus tardive rend l’implantation de cultures intermédiaires plus difficile. Les sols nus sont alors propices à la lixiviation du nitrate vers les eaux
souterraines.
Face à la situation alarmante de la qualité des captages, des changements de pratiques ont eu lieu afin de réduire les résidus de pesticides et la présence de nitrates. Les agriculteurs ont ainsi contractualisé des MAET pour réduire l’utilisation de pesticides sur les cultures et ont amélioré leur
gestion de l’azote. Toutefois, ces changements de pratiques sont encore insuffisants et ne permettent pas d’atteindre les objectifs de la Directive Cadre Européenne sur l’Eau.
La mise en place d’actions à l’échelle du territoire, impliquant l’ensemble des acteurs et soutenant
des filières économiquement attractives et favorables à la qualité de la ressource en eau
(agriculture biologique et cultures bas-intrants), permettrait d’initier des changements de pratiques pérennes et non dépendants de l’existence de subventions tout en assurant un intérêt économique pour l’exploitant.
Les céréales représentent plus de 60% de la surface agricole utile (SAU) de la région Alsacienne. Le maïs est la culture prédominante avec 44% de la SAU, suivi par le blé tendre avec 14%. Le maïs est une culture historiquement prédominante dans la région et notamment dans la plaine, du fait de
conditions pédoclimatiques et d’une disponibilité en eau permettant de très bons rendements, généralement supérieurs aux ...

AGRICULTURE ; PRATIQUE AGRICOLE ; CAPTAGE ; PROTECTION DE CAPTAGE ; PESTICIDE ; PRODUIT PHYTOSANITAIRE ; POLLUTION DIFFUSE

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- 112

Le plateau de Vicherey-Beuvezin est situé la croisée des départements de Meurthe-et-Moselle et des Vosges, à une cinquantaine de kilomètres au sud de Nancy. Les 15 sources d’eau potable alimentent en eau plus de 14 000 habitants sur les territoires alentours, et sont gérées par plusieurs collectivités : commune de Beuvezin, les syndicats intercommunaux d’Aboncourt‐Maconcourt, de Grimonviller, de Pulligny et la commune de Tramont‐Lassus en Meurthe‐et‐Moselle et le syndicat intercommunal de Vicherey-Aroffe dans les Vosges. Sur ces 15 sources, 14 sont dégradées par des pollutions diffuses d’origine agricole (nitrates et/ou des résidus de pesticides).
Le plateau de Vicherey-Beuvezin est situé la croisée des départements de Meurthe-et-Moselle et des Vosges, à une cinquantaine de kilomètres au sud de Nancy. Les 15 sources d’eau potable alimentent en eau plus de 14 000 habitants sur les territoires alentours, et sont gérées par plusieurs collectivités : commune de Beuvezin, les syndicats intercommunaux d’Aboncourt‐Maconcourt, de Grimonviller, de Pulligny et la commune de Tramont‐Lassus en ...

AGRICULTURE ; PRATIQUE AGRICOLE ; ECONOMIE ; RESSOURCE EN EAU ; QUALITE DE L'EAU ; CAPTAGE ; EAU POTABLE ; AIRE D'ALIMENTATION DE CAPTAGE

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- 48+4

Cette étude a été menée à la demande du Syndicat des Eaux de la Vraine et du Xaintois, qui exploite notamment deux captages AEP : la source de la Chavée et la prise d’eau du Vair. Ces deux ressources sont situées sur les communes voisines d’Attignéville et de Removille, à environ 10 km au Nord-Est de Neufchâteau et 45 km au Sud-Ouest de Nancy.

AGRICULTURE ; PRATIQUE AGRICOLE ; ECONOMIE ; RESSOURCE EN EAU ; QUALITE DE L'EAU ; CAPTAGE ; EAU POTABLE ; AIRE D'ALIMENTATION DE CAPTAGE

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