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Documents : Document technique  | enregistrements trouvés : 100

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Le changement climatique ayant des répercussions importantes en ce qui concerne l’eau et les milieux
aquatiques, l’Agence de l’Eau Rhin-Meuse (AERM) a engagé une démarche vis-à-vis du changement
climatique. Le Plan d’Adaptation et d’Atténuation au changement climatique du bassin (PAARM) a été adopté
par le Comité de Bassin du 23 février 2018. Il va à présent être décliné dans le 11ème programme de l’Agence
de l’Eau.

CHANGEMENT CLIMATIQUE ; SOCIOECONOMIE DE L'EAU ; ETUDE SOCIOECONOMIQUE ; VULNERABILITE ; PLAN D'ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE ; POLITIQUE DE L'EAU ; ONZIEME PROGRAMME ; POLITIQUE TERRITORIALE ; RESSOURCE EN EAU

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Ce panorama présente un état des lieux des enjeux en termes d’adaptation au changement climatique et de biodiversité dans la région Grand Est, ainsi que les acteurs régionaux contribuant ou susceptibles de contribuer au déploiement de Solutions fondées sur la Nature pour l’adaptation au changement climatique.

Il est le fruit du travail de l'animatrice régionale ARTISAN en Grand Est, et de l'implication de tous les membres du groupe de travail sur les Solutions d'adaptation fondées sur la Nature en Grand Est : l'Office Français de la Biodiversité, le Conseil régional Grand Est, la DREAL, la DRAAF, l'Agence de l'eau Rhin-Meuse, l'Agence de l'eau Seine-Normandie, l'ADEME, le Cerema, la Banque des territoires et l'INRAE.
Ce panorama présente un état des lieux des enjeux en termes d’adaptation au changement climatique et de biodiversité dans la région Grand Est, ainsi que les acteurs régionaux contribuant ou susceptibles de contribuer au déploiement de Solutions fondées sur la Nature pour l’adaptation au changement climatique.

Il est le fruit du travail de l'animatrice régionale ARTISAN en Grand Est, et de l'implication de tous les membres du groupe de travail ...

CHANGEMENT CLIMATIQUE ; BIODIVERSITE

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- 153

Ce projet avait pour objectif de réaliser une évaluation des impacts futurs des changements climatiques sur les débits de la partie française de la Meuse, en utilisant les dernières simulations climatiques disponibles produites dans le cadre du cinquième rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).

CHANGEMENT CLIMATIQUE ; IMPACT ENVIRONNEMENTAL ; GESTION DE LA RESSOURCE EN EAU ; EAU POTABLE ; rapport d'étude

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- 54

Le principal objectif de cette étude est d’évaluer l’existence d’un éventuel impact des activités militaires menées sur le camp de Bitche sur la qualité de l’eau de la nappe des GTI et, le cas échéant, de le quantifier.

HYDROGEOLOGIE ; ANALYSE DE L'EAU ; EAU SOUTERRAINE ; ANALYSE HYDROBIOLOGIQUE

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En France, le secteur agroalimentaire représente le troisième plus gros consommateur en eau douce dans le secteur de l’industrie, derrière les secteurs de l’industrie chimique et pharmaceutique et les producteurs d’électricité [1]. En parallèle de ces prélèvements en eaux de surface et souterraine (estimés à plus de 200 millions de m3 en 2013, soit l’équivalent de 80 000 bassins olympiques), le secteur agroalimentaire utilise desquantités importantes de produits chimiques permettant le maintien, entre autres, de la qualité sanitaire de la production et de la durabilité des installations (e.g. tours aéroréfrigérantes, chaudières, etc.). Les rejets de leurs effluents industriels directement dans le milieu naturel ou transitant par des stations d’épuration peuvent potentiellement
générer un ou plusieurs risques pour l’environnement et influer sur la qualité des masses d'eau douce. L’état des lieux mené en 2019 par la DREAL en région Grand Est a fait ressortir une dégradation importante de la qualité de l’eau douce sur le territoire, avec 55% des masses d’eau superficielles affichant un état chimique mauvais à l'échelle du bassin Rhin-Meuse.
L’utilisation de produits chimiques associée aux prélèvements importants en eau douce dans le secteur agroalimentaire représente dès lors un enjeu technique, économique et environnemental fort, non seulement à l’échelle régionale, mais aussi sur l’ensemble du territoire national. C’est dans cette optique d’économies substantielles pour le secteur agroalimentaire, alliée à une image vertueuse et respectueuse de la ressource en eau douce, que plusieurs réglementations ont émergé afin d’encadrer au mieux l’usage de produits chimiques, de limiter les rejets de substances (éco)toxiques dans l’environnement,
et de réduire les risques associés (e.g. Directive Cadre sur l’Eau, règlement REACH, Directive IED, arrêté RSDE du 24 août 20172).
En France, le secteur agroalimentaire représente le troisième plus gros consommateur en eau douce dans le secteur de l’industrie, derrière les secteurs de l’industrie chimique et pharmaceutique et les producteurs d’électricité [1]. En parallèle de ces prélèvements en eaux de surface et souterraine (estimés à plus de 200 millions de m3 en 2013, soit l’équivalent de 80 000 bassins olympiques), le secteur agroalimentaire utilise desquantités ...

INDUSTRIE ; INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ; GESTION DE LA RESSOURCE EN EAU

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Cote : 32334-62 RM

La liste des sigles utilisés ainsi que des éléments de contexte et de méthode permettant de faciliter la lecture des fiches synthétiques sont disponibles dans le fichier « 00_INFOS_DONNEES_FICHES ».

EAU DE SURFACE

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- 32

En application de l’arrêté ministériel du 21 juillet 20151 les Agences de l’eau assurent annuellement une expertise technique des dispositifs d’autosurveillance des agglomérations d’assainissement de taille supérieure ou égale à 120 kg/j de DBO5 et des systèmes d’assainissement dont la station de traitement des eaux usées a une capacité supérieure ou égale à 120 kg/j de DBO5.

ASSAINISSEMENT ; EAU RESIDUAIRE URBAINE ; ZONE URBAINE ; ECHANTILLONNAGE ; ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ; AUTOCONTROLE ; ASSAINISSEMENT COLLECTIF ; document guide

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